Carnet de route au MALI - 6ème jour
30/09/07 – 7HOO
Direction DJENNE
Nous revoilà partis pour 430 km de piste et 6H00 de trajet !!!




Nous nous arrêtons dans plusieurs villages et échangeons quelques mots avec les habitants. Les photos amusent toujours autant les villageois.


Nous constatons une évolution du paysage ; forêts, plaines, puis brousses. Nous voyons nos premiers Baobabs et des palmiers qui ressemblent à ceux de notre mariage, mais version : « Chéri, j’ai fait pousser l’palmier ».

12H00




La patronne de l’hôtel nous a réservé sa plus belle chambre : la suite « PEUL » (tribu d’éleveurs). On y trouve un petit salon dont les murs sont peints de motifs africains, une chambre avec lit à baldaquin et une salle de bain. C’est elle, une architecte anglaise, qui a semble-t-il tout réalisé et décoré.



Après une petite sieste, Mohamed nous emmène au musée de DJENNE où l’on nous explique l’histoire de la ville. Nous partons ensuite la visiter avec notre guide local. Au bout de deux minutes à peine, nous décidons de surnommer ce personnage, à la taille et la nonchalance impressionnantes, « Carambar ».

Il nous montre les trois types d’architecture de DJENNE : les maisons soudanaises, marocaines et modernes.



« Carambar » ne manque pas de nous faire découvrir DJENNE en suivant les égouts de la ville. Nous passons par le marché des femmes, réputé pour ses tissus et ses condiments, puis le grand marché pour terminer par le tour de la magnifique mosquée, la plus grande du Mali.





Nous retournons ensuite dans le cadre magnifique de l’hôtel pour assister au coucher du soleil en sirotant un délicieux rhum/gingembre (giga désol’ Chichi !...).

Après une douche bien méritée, nous transformons notre suite en quartier italien avec séchage et « expo » de fringues.

Nous prenons ensuite un copieux repas avec Mohamed, les moustiques, les sauterelles et les crapauds.
Nous décidons de rentrer dans la suite, désolés de ne pouvoir admirer plus longuement le superbe ciel étoilé… les moustiques étaient là avant nous (salauds !).
Nous admirons notre salon italo-africain et nous prélassons dans le gigantesque canapé d’angle (en slip, parce qu’il fait trop chaud, même avec le ventilo).
Direction DJENNE
Nous revoilà partis pour 430 km de piste et 6H00 de trajet !!!


Sur la piste au Mali, inutile de penser dormir un peu sous peine de s’éclater la tronche sur la vitre !


Nous nous arrêtons dans plusieurs villages et échangeons quelques mots avec les habitants. Les photos amusent toujours autant les villageois.


Nous constatons une évolution du paysage ; forêts, plaines, puis brousses. Nous voyons nos premiers Baobabs et des palmiers qui ressemblent à ceux de notre mariage, mais version : « Chéri, j’ai fait pousser l’palmier ».

12H00
Nous pique-niquons avec Mohamed à l’ombre d’un arbre, sur un tapis, entre le NIGER et son affluent le BARANI.

Puis nous arrivons près de l’hôtel et découvrons une rivière en crue nous barrant le chemin. Les villageois nous expliquent qu’il faut prendre une pirogue pour se rendre à l’hôtel.




La patronne de l’hôtel nous a réservé sa plus belle chambre : la suite « PEUL » (tribu d’éleveurs). On y trouve un petit salon dont les murs sont peints de motifs africains, une chambre avec lit à baldaquin et une salle de bain. C’est elle, une architecte anglaise, qui a semble-t-il tout réalisé et décoré.



Après une petite sieste, Mohamed nous emmène au musée de DJENNE où l’on nous explique l’histoire de la ville. Nous partons ensuite la visiter avec notre guide local. Au bout de deux minutes à peine, nous décidons de surnommer ce personnage, à la taille et la nonchalance impressionnantes, « Carambar ».

Il nous montre les trois types d’architecture de DJENNE : les maisons soudanaises, marocaines et modernes.



« Carambar » ne manque pas de nous faire découvrir DJENNE en suivant les égouts de la ville. Nous passons par le marché des femmes, réputé pour ses tissus et ses condiments, puis le grand marché pour terminer par le tour de la magnifique mosquée, la plus grande du Mali.





Nous retournons ensuite dans le cadre magnifique de l’hôtel pour assister au coucher du soleil en sirotant un délicieux rhum/gingembre (giga désol’ Chichi !...).

Après une douche bien méritée, nous transformons notre suite en quartier italien avec séchage et « expo » de fringues.

Nous prenons ensuite un copieux repas avec Mohamed, les moustiques, les sauterelles et les crapauds.
Nous décidons de rentrer dans la suite, désolés de ne pouvoir admirer plus longuement le superbe ciel étoilé… les moustiques étaient là avant nous (salauds !).
Nous admirons notre salon italo-africain et nous prélassons dans le gigantesque canapé d’angle (en slip, parce qu’il fait trop chaud, même avec le ventilo).